(par Michel L. fils d'une ancienne, qui vint très souvent, enfant, à la Maison)
(avec nos remerciement au groupe Minaro pour l'autorisation de reproduction - CD "Fleur de peau")
(Cliquez sur le triangle à gauche pour lancer l'enregistrement)
(il est nécessaire de disposer d'une connexion à haut débit)
- 2.4 Mo - .mp3 - durée 3 minute 26 secondes
La maison était grande | A Sainte-Victoire-la-rivière | |
Y’avait plein de secrets | Le sourire chaud d’une fée | |
De ces bruits de bottes | T’a fait | |
Ce que tu t’en foutais | Mieux résister après… | |
Les grands | - | |
C’était leur jeu | La campagne était grasse | |
Tu croyais… | On en buvait le lait | |
Les cochons étaient gros | A la ville y parait | |
Les fermiers les mangeaient | Que l’on se battait | |
A Paris tes parents | C’est drôle | |
N’en mangeait pas | Toi le lait ça t’écœurait | |
C’est bon | Et les choses ont fini | |
Tu leur f’ras gouter | T’es rentré à Paris | |
Après… | Seul, dans un dortoir | |
- | Tu voyais ta vie | |
Elle te cherchait | L’espoir | |
Dans les blés couchés | De les revoir, elle aussi | |
Tu te cachais, tu palpitais | Qui te cherchait | |
L’amour ça s’ra pour après | Dans les blés couchés ? | |
Tu te cachais pour de vrai | Tu te cachais, tu palpitais | |
- | L’amour ça s’ra pour après | |
A Sainte-Victoire-la-rivière | Tu te cachais pour de vrai | |
C’est comme un écho lointain | - | |
La guerre, ta mère et ton père, | ||
Un train… |